En commençant avec un préambule : je ne parlerai probablement pas de ma santé personnelle, qui a ses propres défis et que je ne veux pas forcément partager en public. Les petits bobos non polarisants, c'est plus OK.
P.ex. ma santé a 4 enjeux :
- manque d'activité physique (merci la COVID, comme des millions d'entre nous) : pertes musculaires, baisse du tonus, et possible COVID longue depuis bientôt 2 ans
- des enjeux physiologiques qui requièrent un travail de réparation entamé voici 2 ans sans garantie de succès complet et qui me gêne encore beaucoup au quotidien
- santé mentale (qui va plutôt bien, genre 8/10, les 2 pts manquants ne sont pas publics)
- le lien avec le bricolage
Comment vous y prenez-vous pour vous forcer à qqchose qui peut vous faire du bien en santé en ayant une trop longue liste de non succès (qui ne sont pas des échecs, j'ai appris qqchose à chaque essai) ?
Les limites de l'âge sont un frein, mais j'espère vivre encore 30 ans env. et profiter d'une santé adéquate avec mon âge croissant.
Il y a 1-2 ans, j'ai fait une marche de 14 km sur un simple coup de tête (mes 4-5 derniers km étaient en mode "autopilot") et je ne ferai plus les semi-marathons de mes 22-25 ans.
Je délaisse l'auto dès que possible pour marcher, mais l'autre enjeu immédiatement consécutif est le temps disponible : dégager du temps quand des évènements externes vous en prennent déjà trop (paperasse, trajets du présentiel bureau, l'engrenage sportif qui peut commencer avec des séances de 15min mais progresser va vite en réclamer 60 et + à chaque fois), bref c'est une spirale qui entrave d'autres sources de bonne santé (mentale et/ou physique).
Ce qui mène à une question métaphysique vs le syndrome de la poule ou de l'oeuf : santés physique et mentale, lequel va aider l'autre sans gruger les activités bonheurs et les obligations de la vie (p.ex. sortir de l'épuisement) ?